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Je suis ravie de rejoindre GAIA pour aider ses membres à définir leur programme de justice environnementale sur les batteries, un nouveau domaine d’intérêt pour l’organisation.
La Global Alliance for Incinerator Alternatives (GAIA) est un réseau mondial d’organisations locales et nationales de 92 pays qui travaillent ensemble sur les déchets et la justice. Je coordonnerai et veillerai à l’alignement de la recherche interrégionale et à la définition d’une stratégie par les membres de la GAIA sur les déchets de batteries de véhicules électriques, et je soutiendrai l’engagement des bailleurs de fonds.
Ce travail avec GAIA complète mon travail existant depuis 2018 avec The 11th Hour Project, l’organisme de subvention de la Schmidt Family Foundation. Dans ce rôle, je conseille le programme des droits humains de The 11th Hour Project sur la mise en œuvre de sa stratégie en Guinée sur la revendication des droits humains des communautés locales impactées par l’exploitation minière industrielle, ainsi qu’en République démocratique du Congo (RDC) sur l’accès à l’énergie et les impacts du plus grand projet de barrage hydroélectrique au monde, Grand Inga.
Mon travail couvre désormais tout le cycle de vie des questions relatives aux droits humains et à la justice environnementale sur les matériaux permettant de réaliser une transition juste et la justice climatique : de la dévastation des communautés locales impactées par l’extraction du minerai de fer, de la bauxite et de l’or en Guinée, à la production incontrôlée de batteries toxiques présentant une obsolescence prématurée qui constitueront la prochaine vague de déchets à déverser dans le Sud global, en passant par la fausse promesse de la méga-centrale hydroélectrique d’offrir un accès à l’énergie pour tous en RDC.