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En décembre, je me suis rendu en Ouganda pour un tour de quelques jours pour animer un atelier pour le Consortium Ougandais sur la Redevabilité des Entreprises (UCCA), abrité par l’Initiative pour les Droits Sociaux et Économiques (ISER). C’était mon deuxième voyage en Ouganda, et j’étais heureuse de me reconnecter avec des visages familiers et rencontrer beaucoup de nouveaux, aussi. Lors de ma première visite en 2014, j’avais visité la région de l’Albertine riche en pétrole, cette fois-ci l’atelier UCCA pour les ONG et les organisations communautaires de tout le pays a eu lieu à Jinja, juste à l’extérieur de Kampala, où j’avais été auparavant pour un jour pour un rafting en eau vive de premier ordre.

Bien que la formation ait couvert toute la gamme de sujets allant des questions foncières aux conflits, des études d’impact sur l’environnement aux mémoires d’amicus dans l’arbitrage investisseur-État et une gamme de stratégies de plaidoyer, un sujet a incontestablement volé le spectacle et capturé les cœurs et les esprits des participants: suivre la trace de l’argent. J’étais contente de partager le formidable travail d’Inclusive Development International (IDI) visant à rendre la cartographie des chaînes d’investissement et le plaidoyer financier plus accessibles à un plus grand nombre de communautés locales et d’ONG.

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